Jean ELLUL

Heureux de l'avoir rencontré !
Je me souviendrai longtemps de nos échanges.
Quel privilège d'avoir été logé chez lui au coeur de la forêt des Landes.
Recevez toute mon affection dans l'espérance de la vie qui ne s'éteint jamais.

A mon père, qui avait patiemment retrouvé la force de lire, les forces cognitives, et l'énergie de remarcher pendant toutes ces années, pour les repas en famille et les veillées au feu, pour son regard d'amour et sa présence, pour sa ténacité et les souvenirs de voyage en Italie, Corse, Grèce, la visite des châteaux, le camping sauvage et les cours d'équitation, pour les débats intellectuels et la clairvoyance de ses idées, pour ton travail d'ethnologie au Cambodge et sur les éléphants, que j'espère tu pourras enfin voir achevé et pour l'amour de la liberté que tu m'as transmis, je te serais éternellement reconnaissant. Pour mon premier piano, ma guitare et mon bodyboard, que ta présence soit toujours un exemple à mes côtés et je prie que tu puisses de nouveau nager dans l'Océan, que tu marches en espadrilles, et que ton esprit rayonne pour toujours dans mon coeur.

A Jérôme et à sa famille. Avec toute ma sympathie et ma tristesse. A bientôt. Fanny Bichon. Paris